Cette partie du site est entiérement et uniquement consacrée aux consoles de Big N, si vous remarquez des anomalies ou si vous avez des information que je n'ai pas mises, merci de m'écrire .
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- Game & Watch (différents modéles)
Les Game & Watch sont donc des petites consoles portables avec des écrans LCD avec des petits jeux simples qui vous scotchaient des heures durant sur votre console avec des jeux du style : aidez les deux gardiens du zoo à tenir le lion en cage ! Vous dirigiez vos personnages sur des parties prédéfinies, c’est à dire que votre personnage allait d’un point à un autre sans transition.
- Color TV Game 6
Sortie en 1977, la color TV Game 6 est la toute première console de Nintendo. 6 jeux de tennis y étaient préinstallés. Elle se branchait directement sur la TV.
- Color TV Game 15
Sortie en 1978, la Color TV Game 15 est la version améliorée de la Color TV Game 6. Cette version sort uniquement au Japon. 15 jeux sont déjà préinstallés sur la console
- Famicom
Sortie en 1983 au Japon, et arrivée en 1986 en Amérique et sur le vieux continent, la Famicom ou NES est une console 8 bits. Les jeux sont enregistrés sur des cartouches. Le processeur central est un Wester Design 6502 modifié, avec une vitesse de 1,79 MHz. La console a une résolution de 256x240 pixels. Elle peut afficher 52 couleurs, et 16 couleurs simultanément. Sa mémoire est de 4ko, 2ko de RAM et 2ko de mémoire vidéo. Le son est en monophonique. Elle peut afficher 64 sprites. La console s’est vendue à 60 millions d’exemplaires, dont la moitié seulement au Japon. Pour développer des jeux sur la Famicom, Nintendo obligeait les éditeurs à signer un contrat d’exclusivité avec eux, d’où le faible succés de la concurrence.
- Famicom Disk System
Sortie en 1985, la Famicom Disk System est un lecteur de disquettes périphérique pour la Famicom. Elle ne sortira que sur le sol nippon. Les disquettes étaient plus précisément des floppy disk 3 pouces double face. La capacité de stockage était de 128 ko, soit 64 par face. Un tel système a été adopté en raison de certains critères : les cartouches coûtant horriblement cher à l’époque, les disquettes étaient une bonne alternative pour vendre des jeux moins chers. On pouvait aussi échanger le jeux de la cartouche par un autre à l’aide d’un enregistreur, présent dans les magasins.
Malheureusement, des problèmes font leurs apparitions :
- Le piratage des disquettes est très facile
- La technologie des cartouches a encore évolué, les rendant plus rentables que les disquettes
- Le profit quasiment nul des éditeurs font que la machine ne sera pas exportée - Twin Famicom
Sortie la même année que la Famicom Disk System, la Twin Famicom, fabriquée par Sharp, est issue de la fusion de la Famicom et de la Famicom Disk System. Elle ne fut commercialisée qu’au Japon et connut les mêmes problèmes que la FDS.
- GameBoy
Le plus grand succès de Nintendo est incontestablement la Game Boy, sortie en 1989. La console portable de 8 Bits avait pour support des cartouches. Le processeur central Z80 avait une vitesse de 4MHz. L’écran avait une résolution de 160x144 pixels et pouvait afficher 4 nuances de gris avec une palette monochrome. La mémoire était de 16 ko, de 8ko de RAM et de 8ko de VRAM. Il y avait 40 sprites affichables et le son était composé de 4 voix. La console était munie aussi d’une prise Link où se branchait un câble pour échanger des données avec une autre console. Cette prise se révélera très utile dans le futur pour les échanges de Pokémon.
Bien que l’écran soit minuscule et n’affiche que du noir et blanc, le succès est énorme. En 1996, c’est la Game Boy Pocket qui sort. Avec une taille réduite de 30 %, un nouveau mode d’alimentation (2 piles AAA pour beaucoup d’heures de jeux) et un nouvel écran plus large et doté d’une meilleur résolution, la Game Boy Pocket. - Super Famicom
La Super Famicom est connue sous plusieurs noms : la Super Famicom (Japon) la Super NES (Europe) et Super Nintendo (USA). La console est sortie en 1990 au Japon et en 1991 aux USA et sur le vieux continent. Nintendo ne change pas le support, toujours des cartouches. La console de 16 bits avait comme processeur central un 65c816 et un co-processeur graphique. La vitesse du processeur est de 3,58 MHz. La résolution est de 256x224 à 512x448 pixels. La console peut afficher 32768 couleurs et 256 couleurs simultanément. La mémoire est de 128 ko et de 64 ko de mémoire vidéo. Le son est généré par un processeur Sony SPC7000 de 8 bits, avec 8 voix PCM. Les sprites affichables sont au nombre de 128 de 64x64.
C’était l’époque où Nintendo avait comme concurrent Sega. Le duel des 16 bits commençait, et si Sega visait les plus âgés, Nintendo ciblait un public jeune. La console sortie précisément le 21 novembre 1990 au Japon et l’année suivante aux USA et en Europe. La Super Famicom était une machine surpuissante et pouvait simuler des effets graphiques sensationels : rotation, zoom et même .... des effets 3D grâce au très connu mode 7. Mais Nintendo est allé encore plus loin et réussit à afficher de la vraie 3D grâce au processeur FX inclus dans les cartouches de jeux. Même si les graphismes 3D n’étaient pas superbes, cela reste quand même la première fois où la 3D était affichée sur une console de jeux !
En 1995, Nintendo lance le Satellaview ou Bs-X. Ancêtre de l’internet, il permettait de télécharger via un modem sur sa Super Famicom des démos, des codes ou même de nouvelles versions de jeux. Les fichiers téléchargés pouvaientt être sauvegardés sur des cartouches spéciales. Quant au modem, il augmentait la mémoire vive de la console de 512 ko. Ce service payant ne fut disponible qu’au Japon.
Pour la petite histoire, Nintendo avait collaboré avec Sony pour développer la Super Famicom, et un lecteur CD-ROM était prévu comme support de jeux annexe (comme la Famicom Disk System) au nom de... Playstation. L’association avec Sony ne porta pas ses fruits, et ce dernier garda le système pour lui pour sortir la Playstation. C’est donc grâce à Nintendo qu’aujourd’hui Sony est présent dans le domaine des jeux vidéo... Nintendo a aussi sorti des accessoires pour sa console en plus du Bs-X : le Super Game-Boy qui permettait de jouer à ses jeux Game Boy sur sa TV, et le Super Scope qui permettait pour les jeux de tir de tirer quasi-réellement ! - Virtual Boy
C’est le plus gros échec de Nintendo avec moins de 500.000 unités vendues. Le Virtual Boy est un engin assez bizarroïde qui fut lancé au Japon le 21 juillet 1995. La console était en fait un casque que l’on mettait sur ses yeux pour s’immerger dans un monde complètement en 3D. La console de 32 bits avait comme processeur central un RISC qui avait une vitesse de 20 MHz. Il y avait 1 Mo de DRAM et 512 ko de SRAM. Il n’y avait que deux couleurs, le rouge et le noir. Le son était stéréophonique. Mais quel était donc le problème de cette machine novatrice ? Et bien, c’est qu’après 10 minutes de jeux, on avait les yeux brûlants et un mal de crâne atroce ! Dommage car le rendu 3D était très impressionnant.
- Nintendo 64
Pourquoi Nintendo 64 ? Tout simplement que la console est une console de 64 bits ! Le support reste toujours inchangé, Nintendo s'entête et persévère dans les supports cartouches. Le processeur central est un Silicon Graphics R33000i RISC avec une vitesse de 93,75 MHz. Il y a aussi deux processeurs additionnels : GSP et DP de 62,5 MHz chacun. La résolution est de 256x224 à 640x480 en 21 bits. Il y a une mémoire de 4,5 Mbytes et 4 millions de couleurs possibles. La console peut afficher 500.000 polygones par secondes. Le son est de 24 voix en tables d’ondes, en fréquence 44 kHz.
Nintendo avait décidé de faire l’impasse sur une console 32 bits après l’échec du Virtual Boy. Il préférait peaufiner une 64 bits qui était annoncée révolutionnaire ! Développée sous le nom de Poject Reality, nommée Ultra64 puis N64, la console se fait attendre. Sortie avec un an de retard, la console est devancée par la Dreamcast de Sega et la Playstation de Sony. Bien que ces deux consoles soient des 32 bits, la N64, bien que plus puissante, a du mal a rivaliser. Ceci est du notamment au nombre très faible de jeux sortis qui sont quasiment tous réalisés par Nintendo. L’erreur aussi de garder un support cartouche va rendre les graphismes plus flous et les couleurs plus pâles, et le prix des jeux sera plus élevé que si le support était un CD.
Paradoxalement, Nintendo n'a jamais gagné autant d'argent qu'avec la N64, grâce aux royalties. La N64 est considéré comme un demi-échec, mais elle s’est tout de même vendue à plus de 28 millions d’exemplaires. - Game Boy Color
C’est en 1998 que sort la nouvelle version de la Game Boy : la Game Boy Color. La console portable de 8 bits avait pour support des cartouches et avait une palette de couleurs de 32000 dont 56 affichables simultanément. Le processeur central est toujours un Z80 mais la vitesse a augmenté pour être de 8 MHZ. La résolution ne change pas ainsi que les sprites affichables et le son. Par contre la mémoire est de 24 ko, de 8 ko de RAM et 16 ko de VRAM. L’évolution vers la couleur attendue depuis longtemps est donc faite ! Nintendo en profite pour réduire encore la taille de la console et augmente son autonomie. Il y a bien sur une rétro-compatibilité avec les anciens jeux Game Boy. Mais Nintendo invente aussi des accessoires pour sa console ; c’est ainsi que l’on verra un appareil photo se brancher à la place des cartouches avec un logiciel pour transformer la photo prise, et aussi une imprimante qui se brancher via la prise Link pour imprimer ces photos. Evidemment, ce sont des gadgets ! Mais c’est toujours très drôle de voir sa tête sur un écran, et encore plus sur une console portable.
- 64 DD
La 64DD est un add-on conçu pour la N64. Ce sera le 2ème plus grand échec de Nintendo. Il se fixait sous la N64 et permettait de lire des disquettes de 64 Mbits. Le transfert des données de la 64DD à la N64 et vice-versa prenait 1 Mbits par seconde. La 64DD avait une mémoire de 4 Mbits RDRAM. La sortie qui était prévue pour 1997 est repoussée jusqu’en 1999. La soit-disante révolution du jeux vidéo équivaut à un coup d’épée dans l’eau. On ne comprend pas pourquoi Nintendo s’obstine dans le support disquette, et pourquoi il commercialise un add-on sur la N64 qui n’est pas une grande réussite ? Bien que les disquettes soient réinscriptibles et que la console posséde une horloge interne, la 64DD ne se vend pas et ne quittera pas l’archipel nippon. Il y avait pourtant de nombreux projets de jeux mais tous furent reportés sur le projet Dolphin...
- Game Boy Advance
La grande soeur de la Game Boy sortira en 2001. La console portable 32 bits a toujours comme support de jeux des cartouches. Le processeur central est un RISC. La console peut afficher 32000 couleurs avec une résolution de 240x260 pixels. La mémoire est de 128 ko, de 32 ko de WRAM et de 96 ko de VRAM. L’alimentation se fait maintenant par une batterie au lithium rechargeable, au lieu de simples piles.
La GBA est un énorme succès : le jour de sa sortie au Japon (le 21 mars 2001), elle s’est écoulée à 650000 exemplaires, 500000 dans la semaine du 11 au 18 juin lors de sa sortie aux USA et 100000 en France la semaine du 22 au 27 juin. Sur l’année 2002, 3000000 d’exemplaires seront vendus uniquement au Japon ! Le projet de la GBA date de 1996 environ, on parlait d’une console couleur utilisant un processeur RISC. Le projet Atlantis sera confirmé par Nintendo peu de temps après. Mais le projet sera mis en attente face au succès de la Game Boy Pocket et à la sortie de la N64. La GBA se glisse dans toutes les poches grâce à ses avantages : un écran couleur très large, une entière rétro-compatibilité avec tous les autres jeux GB. La GBA est aussi un poids plume car elle pèse seulement 140 grammes. Mais la GBA comporte un autre point intéressant : son interactivité avec la GameCube qui sortira environ un an plus tard. La GBA se branche sur le port manette via un câble spécialement conçu pour cette idée. Elle joue alors un rôle de «super» manette. Beaucoup de jeux seront développés avec cette fonction, et un jeu ne sera jouable d’ailleurs qu’avec des GBA : le sublime Zelda Four Swords ! Récemment, Nintendo a même développé deux jeux pokémon (Rouge Feu et Vert Feuille) où le mode multi-joueurs se fait via les ondes, ce qui est une inovation de poids ! Il s’est vendue 115000 de GBA en l’année 2003. - GameCube
La GameCube est sortie fin 2001 au Japon et en 2002 dans le reste du monde. La console de 128 bits a de nouveaux supports pour ses jeux : des minidisques (DVD-ROM) d’une capacité de stockage d’1,5 Go et de 8 cm de diamètre ; s’ils sont si petits, c’est que Nintendo croit que l’avenir des consoles se trouve dans ses minidisques. Le processeur central développé par IBM est un IBM Gecko d’un vitesse de 405 MHz. Il y a aussi un processeur additionnel qui est un ArtX GP modifié. La mémoire est de 40 Mo de RAM. La console peut afficher 12 millions de polygones par secondes. Le son est composé de 64 (peut-être en souvenir de l’ancienne N64, qui sait ?) voix pour une fréquence de 48 kHz. Le son peut même être en Dolby Surround.
Nintendo, ayant perdu la face avec sa console N64, veut reprendre le dessus. La GameCube sort quasiment en même temps que ses 2 concurrentes : la PS2 de Sony et la Xbox du nouveau venu sur le marché des consoles Microsoft. Bien que la GameCube se vende moins bien que la PS2, elle reste une machine de qualité avec des jeux de qualité dont les joueurs assidus sont friands. Mais à l’inverse des deux autres machines du moment, la GC ne lit pas des DVD, car Nintendo réserve sa console aux joueurs «purs» ! Bien que Nintendo ne soit pas convaincu par le jeu online contrairement à Sony et Microsoft, il sort tout de même un modem pour le jeu de son ancien ennemi et nouvel allié Sega : Phantasy Star Online. Les jeux visent souvent les plus jeunes, mais il y a quand même des jeux plus violents, mais développés par d’autres éditeurs que Nintendo. Comme sur Nintendo 64, les jeux sont moins nombreux mais, comme je l’ai déjà dit, d’excellente qualité, à l’exemple de Super Mario Sunshine, Super Smash Bros. Melee et de Zelda. Malgré son départ en douceur par manque de jeux, la GameCube s’est vendue à 6000000 d’exemplaires à travers le monde fin 2002. Nintendo instaure aussi la mode du «pack» : il vend sa GameCube avec un autre jeu pour que l’acheteur puisse tout de suite jouer, et tout cela à un prix raisonnable (environ 100 € la console, la manette et le jeu). Nintendo a aussi développé des accessoires tels que le Game Boy Player permettant de jouer aux jeux de GB et de GBA sur sa GameCube, ainsi que le Keyboard Controller qui est un clavier de jeux. - Q
Drôle de nom ! Q est un fait une machine hybride, entre la GameCube et le lecteur DVD, commercialisée par Panasonic et Nintendo. Q est en fait créé pour contrer le phénoméne PS2 avec le lecteur DVD intégré, mais en aucun cas contre la XBox qui elle n’arrive pas à percer le marché japonais. Malheureusement (ou heureusement pour certains ...) Q ne sortira pas en Europe ni aux USA.
- Game Boy Advance SP (Special Project)
Sortie en février au Japon et fin mars pour le reste du monde, il n’y a pas de pas de grand changement par rapport à la GBA, à part la résolution plus faible de 240x160 pixels. La GBA SP (pour Special Project) est créée pour résoudre un des principaux soucis de la GBA : la luminosité. En effet, le non rétro-éclairage des écrans des GB et de la GBA obligeait le joueur à se placer vers une source de lumière. Et bien maintenant, c’est fini ! Le rétro-éclairage de la GBA SP est tout simplement révolutionnaire, il faut dire que l’on attendait ça depuis longtemps ! Le look aussi est revu : Nintendo reprend les formes des Game Boy mais innove encore : la console se plie en deux ! Evidemment, la GBA SP ne remplace pas la GBA, son prix étant trop élevé. Le jour de la sortie japonaise, la console s’écoule à 300000 exemplaires. Il sera vendu en 2003 2179000 de GBA SP.
- Nintendo DS (Dual Screen)
Sortie en 2005, la DS est la console portable du moment. La console a deux processeurs : un ARM9 et un ARM7. La DS est considérée comme une révolution dans le monde des consoles portables, en effet c’est la 1ère console portable au monde capable d’afficher de la 3D. Et comme Big N voit les choses en grand, la console est dotée de deux écrans capables d’afficher simultanément de la 3D, et l’écran du bas est à lui seul toute une autre révolution : il est tactile ! L’écran supérieur de 3 pouces est rétro-éclairé, c’est un écran LCD couleur qui a une résolution de 256x192 pixels et qui peut afficher 260000 couleurs, il en va de même pour l’écran du bas, sauf que ce dernier est tactile évidemment (comme le dit si bien Wario : «Ca sert à rien de toucher l’écran du haut, ça ne marchera pas !..»). De plus, la DS est équipée d’un micro, ce qui est encore un avantage ! Nintendo a même pensé à la rétro-compatibilité des jeux mais uniquement ceux de GBA. Le support est bien sûr l’indémodable cartouche de jeux ! Mais cette dernière étonne vraiment par sa taille qui est de 3,5x3,5 cm. La DS se présente même comme une sorte de PDA : il y a une horloge intégré, la date, une alarme et la console peut même retenir votre date d’anniversaire ! Un logiciel de Chat presque instantané (2 s pour recevoir le message, source de ma DS et de celle de mon voisin) surnommée le PictoChat, qui fonctionne grâce à une liaison par ondes et Wi-Fi, vous permet d’écrire avec le fameux stylet ou à l’aide du clavier numérique en passant par l’intermédiaire du stylet ! Les hauts-parleurs sont évidemment stéréophoniques et même parfois arrivent à simuler du surround selon les jeux. Comme sur les GBA, l’alimentation se fait par une batterie au lithium rechargeable qui permet de jouer environ 10 h. Le seul coloris en vente en Europe est le gris, mais déjà au Japon d’autres coloris sont disponibles : du graphite au rose bonbon, en passant par le pur blanc et le bleu turquoise. Le mode-online grâce au Wi-Fi est désormais développé, car c’est officiel, Animal Crossing DS sera online ! La DS coûte 150 € environ, avec le chargeur de la batterie fourni ainsi qu’une démo de Metroïd Prime Hunters : First Hunt.
- Game Boy Micro
La dernière née du coté des Game Boy, la Game Boy Micro allie légereté, compacité et mode. Comme un téléphone portable, il sera possible de changer de coque. Plus d'une cinquantaine seront disponibles ! Coté capacités, la console fait 102x51x18 mm. L'écran est rétro-éclairé, mais plus petit que sur GBA SP. Bref, un petit bijou de technologie.